Clarkson, plaidoyer élégiaque et désenchanté : la poésie au bord du gouffre.

Bonneville m’a restitué cette video avec une telle émotion que j’ai presque tardé à la voir de peur de trahir son enthousiasme ou de ne pas percevoir ce qu’il avait ressenti. Le film en question de près de 3 minutes accompagne la sortie de Forza 4..  c’est d’une rare justesse, un brin désespéré et poignant au possible. Alors oui, Bonneville a raison, ce film raconte un peu notre crédo, la voiture passion : l’humain concentré qui se heurte à l’ère moderne. Clarkson à la voix off parfait un bien bel ouvrage…


Commentaires

Laisser un commentaire